Avancée des actions

Dans le Projet Territorial de Santé Mentale d’Ille-et-Vilaine, 23 actions sont travaillées et mises en œuvre.

Ces actions sont issues du diagnostic territorial. Elles ont été identifiées puis élaborées par les acteurs d’Ille-et-Vilaine.

Ces actions sont réparties sur huit pistes de travail établies en conformité avec les six priorités du décret.

1. Développer la lisibilité des ressources en santé mentale

Copilotes de l’action : Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Regnier) / Maison Associative de la Santé

Description de l’action :
La lisibilité sur les dispositifs de santé mentale et le partage des informations ont été identifiés comme une des difficultés à organiser les parcours. Cette question se décline auprès de différents publics : le grand public et les personnes concernées, les professionnels de première ligne, les acteurs des champs sociaux, médico-sociaux, les acteurs sanitaires généralistes et les acteurs de la psychiatrie. Il s’agit d’organiser une mise à dispositions des ressources en santé mentale via une arborescence commune pouvant se décliner en fonction des besoins particuliers des différents acteurs.

Fiche action A1
Copilotes de l’action : Conseil Local de Santé Mentale (Rennes) / Maison Associative de la Santé

Description de l’action :
Les représentations sociales faussées des problématiques de santé mentale ont un impact négatif à la fois sur l’accès au soin et leur acceptation, comme sur l’inclusion des personnes concernées. Une communication opérante vers le grand public associé à une démarche d’implication des acteurs du droit commun sera de nature à favoriser un accès précoce et plus apaisé au soin. Il s’agit donc de renforcer les actions de la SISM (semaines d’information sur la santé mentale) et de déployer les formations PSSM (premiers secours en santé mentale)

Fiche action A2
Copilotes de l’action : Santé Mentale France en Bretagne / Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Regnier)

Description de l’action :
L’action consiste à améliorer la connaissance de la population avec handicap psychique dans le Département d’Ille-et-Vilaine et ses particularités épidémiologiques par un meilleur traitement des informations disponibles (enquêtes, analyse RIMP). Elle vise également à mettre en place des projets de recherches collaboratives sur des thématiques importantes dans le département.

Fiche action A3

2. Les personnes concernées et leurs proches : des partenaires, une ressource et des compétences

Copilotes de l’action : INTERGEM 35 / UNAFAM 35 / Association de représentants d’usager de la psychiatrie

Description de l’action :
La pair-aidance est aujourd’hui pleinement reconnue comme une contribution essentielle dans la réponse aux problématiques psychiques. Les GEMs sont l’espace premier dans lesquels se déploie ce concept. Ils sont pertinents d’où l’enjeu dans prendre soin. L’UNAFAM propose un soutien à toutes celles et ceux qui sont impactés par la pathologie de leur proche. Cette autre forme d’aide entre pairs est aussi à faire connaitre et à valoriser. La dynamique de pair-aidance pour se déployer pleinement nécessite d’être confortée par la formation, la diversification de ses modalités et une rétribution de ses contributions.

Fiche action B1
Copilotes de l’action : GCSMS CAP Santé Mentale (APASE et La Bretèche) / Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Saint Malo)

Description de l’action :
L’action consiste à renforcer la réhabilitation psychosociale dans le département en essaimant les outils et les formations et en s’appuyant sur le futur centre support de réhabilitation psychosociale. L’enjeu est d’inclure les usagers et les aidants dans toutes les phases de structuration. Deux éléments font l’objet d’une attention particulière : le développement de l’éducation thérapeutique et les dispositifs de formations et d’information des aidants.

Fiche action B2
Copilotes de l’action : INTERGEM 35 / UNAFAM 35 / Conseil Locale de Santé Mentale de Rennes / IREPS

Description de l’action :
Les postures professionnelles évoluent notamment du fait de la reconnaissance du savoir expérientiel des personnes elles-mêmes individuellement et collectivement sur leurs problématiques. Pour autant, certains espaces de soins ou d’accompagnements doivent encore s’améliorer pour s’inscrire dans une dynamique bienveillante de co-construction d’un parcours de rétablissement. L’organisation d’une participation active des personnes concernées à cette démarche d’amélioration est essentielle.

Fiche action B3

3. Développer la culture professionnelle partagée et l’interconnaissance

Copilotes de l’action : UNAFAM 35 / GCSMS CAP Santé Mentale (ADAPEI 35)

Description de l’action :
L’objectif de cette action est de développer l’interconnaissance et les cultures professionnelles communes autour de la santé mentale par une stratégie globale de formation. Il s’agit de faire évoluer les formations des professionnelles en concordance avec les politiques publiques en santé mentale pour favoriser le décloisonnement. Dans une approche systémique, plusieurs outils sont utilisés : formations initiales, formations croisées sur les territoires… à partir des besoins identifiés par les acteurs professionnels et usagers.

Fiche action C1
Copilotes de l’action : En cours

Description de l’action :
Les liens entre acteurs relèvent de niveaux différents. Divers dispositifs en place sont considérés comme probants, il s’agit donc pour l’essentiel d’aller dans une logique de généralisation, simplification, homogénéisation. Les coordinations et coopérations entre acteurs doivent principalement s’inscrire dans les pratiques au quotidien. Le développement de l’interconnaissance en est une condition, il doit favoriser le déploiement de logiques de coresponsabilité. Toutefois pour certaines situations un espace peut s’avérer nécessaires pour : – Organiser la coordination. La mise en place des DAC devrait assurer cette fonction. Lors de la mise en place de ces dispositifs, il s’agira d’apporter une contribution afin que les spécificités des questions de santé mentale soient au mieux prise en compte. – Apporter un appui aux acteurs de premières lignes que sont les acteurs de droits communs et les médecins généralistes. Enfin pour certaines situations particulièrement critiques ou complexes, la structuration d’un dispositif organisationnel pluri-institutionnel est indispensable pour organiser les réponses.

Fiche action C2

4. Pour une réponse adaptée au public : anticiper et assouplir l’offre

Copilotes de l’action : Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Régnier / Polyclinique Saint Laurent) / CHT Haute Bretagne et Rance Emeraude / Maison de Santé Pluriprofessionnelle de Villejean

Description de l’action :
L’action consiste à définir une stratégie globale systémique en agissant sur les constats identifiés dans le diagnostic, pour améliorer l’accès aux soins somatiques des personnes souffrant de pathologies psychiatriques : mécanismes facilitant l’accès aux médecins traitants en développant les accompagnements intermédiaires, adaptation des organisations à la particularité des troubles psychiques, amélioration de la coordination entre les différents professionnels.

Fiche action D1
Copilotes de l’action : Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Redon / CH Guillaume Régnier / La Thebaudais) / GCSMS CAP Santé Mentale (ESPOIR 35)

Description de l’action :
La mobilité et le développement de l’aller vers constitue un enjeu majeur pour les personnes en souffrance psychique. L’action vise à définir une stratégie globale sur le département de déploiement d’équipes mobiles cohérentes et articulées entre elles. Il s’agit également de mettre en œuvre des équipes mixtes pluri professionnelles permettant de croiser les compétences.

Fiche action D2
Copilotes de l’action : PEP Brétill’Armor / Pôle Egalité, Education, citoyenneté (Aide Sociale à L’Enfance) Conseil Départemental

Description de l’action :
Pour les plus jeunes, la problématique des délais pour l’accès aux dispositifs de soins est majeure. Les périodes d’attentes constituent un risque important de pertes de chance, par la cristallisation ou l’amplification des problématiques, une charge inappropriée portée par les familles et les acteurs de premières lignes. Une réorganisation des dispositifs est nécessaire : elle implique une réforme de l’accès à l’évaluation, une mobilisation de moyens nouveaux, une mise en cohérence de l’articulation de l’offre et un travail sur sa lisibilité.

Fiche action D3
Copilotes de l’action : MDPH / GCSMS CAP Santé Mentale (Espoir 35 / ADAPEI 35)

Description de l’action :
La MDPH est centrale dans la mise en œuvre des droits pour les personnes en situation de handicap. Pour en optimiser l’opérationnalité, diverses conditions doivent être réunies : elle doit être saisie, les dossiers constitués doivent permettre l’identification des besoins de compensation, les orientations proposées doivent être activées, les modalités de compensation doivent être appréhendées par les personnes et mobilisables dans une temporalité adaptée. Pour les personnes en situation de handicap d’origine psychique, les dénis, l’apraxie, les troubles des volitions ou de l’altérité peuvent constituer des obstacles dans la démarche même auprès de la MDPH. La démarche d’amélioration proposée repose donc à fois sur des dimensions techniques (outils et communication), de formations, d’organisation, mais aussi d’accompagnements spécifiques pour les publics « non-requérants »

Fiche action D4
Copilotes de l’action : Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Saint Malo / CH Guillaume Régnier)

Description de l’action :
L’objectif de cette action est de développer une forme innovante de soins au plus proche de l’environnement sociétal de la personne, en coordination avec l’ensemble des acteurs autour de la personne. Les équipes de suivis intensifs ambulatoires à domicile visent à proposer une alternative à l’hospitalisation temps plein en amont et en aval de l’hospitalisation et ont pour objectif :
– Optimiser la qualité de vie de patients vivant avec des troubles psychiques relevant d’un suivi hospitalier, grâce à une prise en charge dans son milieu de vie,
– Préparer, raccourcir, prendre le relai, éviter ou remplacer une hospitalisation à temps plein,
– Diminuer les hospitalisations sans consentement
– Garantir l’intensité et la continuité des soins,
– Favoriser la coordination et la structuration des soins
– Permettre une intervention précoce pour les troubles psychotiques débutants
Ces équipes seront construites de manière partenariale, en articulation avec les équipes de pédopsychiatrie.

Fiche action D5
Copilotes de l’action : Communauté Psychiatrique de Territoire / GHT Haute Bretagne & Rance Emeraude

Description de l’action :
L’objectif de cette action est d’améliorer la lisibilité du dispositif d’urgence sur le département et son organisation afin in fine d’en limiter le recours ainsi que le nombre d’hospitalisations sans consentement et ainsi agir sur l’une des causes racines de nombreux dysfonctionnements en termes de parcours, fortement identifiée lors du diagnostic. Il s’agit également de développer les compétences psychiatriques de la régulation 15.

Fiche action D6

5. Améliorer la continuité de parcours lors des phases de transitions et pass’âges

Copilotes de l’action : Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Régnier) / ARASS / GCSMS CAP Santé Mentale (APASE)

Description de l’action :
Cette fiche action s’inscrit en synergie avec le déploiement du nouveau cahier des charges de la Maison des Adolescents. Les échanges ont permis de préciser qu’il convenait plutôt de parler d’âges cibles plutôt que de tranches d’âges. Il s’agit de répondre à deux problématiques différentes de jeunes en fragilité psychique celles :
– Des jeunes non-demandeurs (non-requérants) en repli ou en errance
– Des jeunes ne relevant pas des prises en charge institutionnelles (psychiatrique, protection de l’enfance…) qui auraient besoin d’un lieu de répit pour une phase courte dans un cadre apaisant.
Dans les deux cas, les réponses doivent être pluri-institutionnelles et pluri-professionnelles. Elles s’inscrivent dans les territoires et s’appuient sur les acteurs de proximités. L’avis de jeunes eux-mêmes concernés pourrait être sollicité afin d’apporter un éclairage notamment quant aux outils (numériques ?) de communication à mobiliser.

Fiche action E1
Copilotes de l’action : Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Saint Malo / CH Guillaume Régnier) / GHT Haute Bretagne & Rance Emeraude

Description de l’action :
L’action vise à renforcer et structurer une offre graduée de prise en charge périnatale de la prévention des troubles à l’hospitalisation. L’enjeu est par le repérage et le dépistage, et par le développement des prises en charges ambulatoire de psychiatrie périnatale de limiter l’hospitalisation pour les personnes le nécessitant. Il s’agit également de répondre au manque d’offres de lits parents-bébés sur le département et sur la région entrainant des problèmes important de prises en charge pour les parturientes mais également des difficultés pour l’ensemble des partenaires.

Fiche action E2
Copilotes de l’action : Dispositif d’Appui à la Coordination / Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Régnier)

Description de l’action :
Cette action vise à améliorer la prise en charge des personnes âgées souffrant de troubles psychiatriques sur le territoire en :
– Structurant cette prise en charge
– Soutenant les professionnels du premier recours et acteurs du domicile (soins et aide) dans l’accompagnement des personnes âgées souffrant d’affections psychiatriques.
– Améliorant la formation des professionnels intervenant à domicile et des EHPAD sur les affections psychiatriques des personnes âgées sur le repérage et les conduites à tenir
– Améliorant l’articulation entre les EHPAD, la psychiatrie et les ESMS
L’appui sur l’expérimentation de l’équipe mobile d’appui et d’évaluation de psychiatrie de la personne âgée menée dans le cadre du PAERPA permettrait en généralisant cette dernière de répondre aux enjeux en Ille-et-Vilaine.

Fiche action E3
Copilotes de l’action : Conseil Local de Santé Mentale (Rennes) / Education Nationale

Description de l’action :
En santé mentale, les dynamiques de promotion restent peu visibles. Pour autant, le développement de compétences psychosociales constitue un atout notamment auprès des plus jeunes en permettant à ces futurs citoyens d’être mieux armés pour affronter « les tensions ordinaires de la vie ». Les programmes de promotion sont porteurs d’effets positifs sur les individus comme sur le « vivre ensemble ». Au regard du caractère novateur de la démarche Il semble nécessaire de commencer par une phase de sensibilisation / formation pour ensuite proposer une diffusion progressive de programmes de développement des compétences psychosociales auprès de collectifs ciblés.

Fiche action E4

6. Proposer des réponses spécifiques pour certains publics : précarité et immigration

Copilotes de l’action : Réseau Louis Guilloux / Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Régnier)

Description de l’action :
L’action vise à améliorer l’évaluation, l’orientation et la prise en charge du public précaire et migrant. Face au nouveau défi migratoire, il convient de définir un dispositif garantissant la continuité des soins et de l’accompagnement. Le dispositif partenarial est à construire pour les mineurs.

Fiche action F1

7. Soutenir l’inclusion citoyenne

Copilotes de l’action : Direction Départementale de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DDETS) / Service Intégré d’Accueil et d’Orientation (SIAO 35) / Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Régnier)

Description de l’action :
Le respect des droits fondamentaux passe par celui de disposer d’un toit. Des réponses existent en la matière mais la multiplicité des dispositifs rend peu lisible l’offre dans ses différentes dimensions. Un état des lieux partagés s’impose afin proposer un outil de lisibilité aux acteurs. L’offre existante doit aussi être complétée notamment dans des territoires particulièrement en tension, mais aussi enrichie de dispositions spécifiques en particulier à destination des jeunes. Afin de garantir un accès satisfaisant et un maintien dans le logement, l’accompagnement est souvent essentiel. Il doit mobiliser les compétences nécessaires et présenter des garanties adaptées dans son intensité et sa durée pour sécuriser la personne, le bailleur et l’environnement. L’articulation, la concertation entre les acteurs est nécessaire pour pouvoir s’inscrire dans une logique de parcours mais aussi pour éviter des pertes majeures de chances : expulsions, défaut de réactivité dans la mise en place des compensations nécessaires à un retour chez soi.

Fiche action G1
Copilotes de l’action : ICUAL / LADAPT

Description de l’action :
Pour les personnes en situation de handicap psychique l’insertion professionnelle est une préoccupation importante ( cf les position des personnes concernés lors du diagnostic). Pour autant le monde de l’entreprise reste sur la défensive quant à leur embauche. Si la prise en compte de santé mentale, au travail est aujourd’hui considéré dans les texte. L’organisation du travail est encore rarement adaptée pour des personnes présentant des fragilités psychiques. Des ponts sont à gérer entre l’univers de l’entreprise et celui du handicap. Afin que les accompagnants soient pertinents dans le rôle de médiateur pour des intégrations en Entreprise encore faut-il qu’ils soient acculturés aux codes et langages de celles-ci. Pour les personnes qui ne sont pas orientées « marche de l’emploi » et ceux qui n’ont pas de RQTH divers dispositifs d’accompagnement existent soit généraliste (pôle emploi, ALI), soit spécialisés (CAP Emploi, dispositifs spécifiques PAS, PEM,..) Les modalités d’accompagnement sont multiples, parfois morcelées en prestations. L’approche « emploi accompagné » qui répond à une logique de parcours reste d’un niveau de développement confidentiel. Ces parcours relèvent d’un processus mobilisant une approche de réhabilitation. Enfin il convient de prendre en compte des formes alternatives qui répondent à des besoins d’occupation et de participation sociale.

Fiche action G2
Copilotes de l’action : INTERGEM 35 / Pôle Egalité, Education, Direction de l’autonomie citoyenneté (Conseil Départemental) / Associations Hospitalières

Description de l’action :
Les personnes concernées ont dans la phase diagnostic particulière insisté sur l’importance, pour elles, de l’accès à des activités aux différents moments de leur parcours. L’investissement dans une activité qu’elle soit de loisirs, artistique, culturelle ou sportive est au cœur du processus de rétablissement. Il donne un sens au temps qui passe, permet de renouer avec l’existence sociale, de retrouver de l’estime de soi, etc. Au-delà de l’activité elle-même, le cadre porteur est lui aussi déterminant. La participation à une vie associative donne place à un positionnement citoyen acteur, contributeur social. Dans ce cadre collectif, peut s’exprimer son pouvoir d’agir. C’est pourquoi il convient de prendre soin des GEM et des associations hospitalières. Aux différents moments du parcours de rétablissement, la participation à des activités peut se révéler une épreuve. Une médiation adaptée est alors nécessaire. Il convient de favoriser une synergie d’action entre médiateurs pairs, soignants, accompagnateurs, médiateurs culturelles et sportifs, … Les contextes doivent être favorables. Pour cela, les établissements et services de soins, d’accueil et d’accompagnement doivent soutenir et accorder toute son importance à cette question. En parallèle, les structures de droit commun doivent être préparées et disponibles pour accueillir un public psychiquement fragile.

Fiche action G3

8. Pilotage d’une politique de santé mentale : un enjeu transversal

Copilotes de l’action : Education Nationale / Service santé étudiant / Communauté Psychiatrique de Territoire (CH Guillaume Régnier – Pédopsychiatrie)

Description de l’action :
La mise en oeuvre des projets de société inclusive impact le monde scolaire et universitaire. Il s’agit de définir une stratégie globale qui, si elle concerne principalement les enfants et étudiants en situation de handicap, implique la mobilisation de l’ensemble des communautés du monde de l’éducation et de l’enseignement. Elle suppose des mobilisations conjointes entre les différents partenaires ; entre les monde de l’enseignement, de la santé et de l’accompagnement. La stratégie implique une démarche d’information et de formation, de mettre à disposition des outils pour le personnel éducatif et de faire participer les élèves et les étudiants à la démarche.

Fiche action H1

Pour plus de renseignements, vous pouvez voir le détail des actions ci-dessous et consulter les bilans des réalisations par année en fin de page !

Chefs de projet du PTSM 35 :

  • Mikael BANNIER
  • Anaïs JEHANNO

Coordonnatrice du PTSM 35 :

  • Camille BRETON